Richard Sünder est journaliste, épistémologiste (étude critique des sciences et de leur valeur logique), pansémioticien et conférencier. Après avoir développé le “Modèle géométrique de l’Arithmétique thermodynamique“, de 1971 à 1974, et l’avoir quantifié en 1978, ce que personne n’avait eu l’idée de faire, il s’est aperçu que ce modèle modélisait la topologie freudienne de l’appareil psychique, la relation du conscient et de l’inconscient, la relation des idées et de la matière et la théorie du conflit comme cause essentielle des pathologies, développée par Georg Groddeck, Henri Laborit, Ryke Geerd Hamer, Claude Sabbah, Salomon Sellam, Christian Flèche et bien d’autres. Il a utilisé le modèle pour faire de la psychothérapie psychobiologique (voir « Les Moires de la Mémoire ou le Conscient, l’Inconscient et les signes »). En 1978, sept ans après qu’Henri Laborit l’avait éconduit de son bureau, en lui disant qu’il lui fallait apprendre, il lui envoya une très longue lettre où il expliquait son modèle. Henri Laborit lui répondit : « Ce qui me gêne le plus, c’est que je ne vois pas de faille à votre argumentation ». Robert Vallée, mathématicien, fondateur du Cercle d’études cybernétiques que présidait Louis de Broglie, devait lui confirmer, dans un message personnel, « l’intérêt de son entité Zéro-Infini ». Quant au philosophe Gilles Deleuze, il devait écrire à propos du modèle : « Revit en vous un type d’analyse du langage qui me semble d’une grande force. Et la manière dont vous savez y joindre une physique est très frappante. Vos vidéons m’intéressent beaucoup. » L’agrégé de philosophie, Tony Brachet, citait l’auteur du modèle dans son “Philorama“. Boris Sirbey devait soutenir avec succès, à Nanterre, le 23 janvier 2006, une thèse de psychobiologie, « Science et Gnose », où il citait abondamment Richard Sünder.
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