La géométrie n’est pas un langage. L’espace mental relève-t-il de la géométrie ?
Et dans quelles circonstances l’œuvre d’Alain Suby m’interpelle-t-elle dans cette question? Qu’en est-il de la psyché lorsqu’elle se vit géométriquement, lorsque la géométrie est la trame inattaquable de la conscience et de l’inconscient — la part de l’être ?
Le mental se déplace toujours par une opération qui est de l’ordre du calcul, et celui-ci est toujours une géométrie même si sa consommation est arithmétique et sa réalisation algébrique dans le cas où l’identité n’est pas le postulat — ce qui ne se fait pas encore.
C. G. Guez Ricord
Extrait de Le compas et le serpent
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