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ALCHERINGA

Présentation du n°4

LIBRAIRIE DE LA HALLE ST PIERRE, le dimanche 18 JUIN – 15H

Joël Gayraud présentera la revue et les activités du groupe de Paris. Régis Gayraud et Guy Girard liront des textes, poèmes, récits de rêves… Bruno Montpied parlera de la pratique de l’art en commun et de l’exposition « l’or du temps » au LAM…

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GALERIE LES YEUX FERTILES, le jeudi 22 JUIN – 18H

Avec Joël et Régis Gayraud, Guy Girard, Sylwia Chostowska, Yoan Armand Gil…

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LIBRAIRIE De la MAISON ANDRÉ BRETON à St Cirq Lapopie, dans le cadre de l’exposition « à flanc d’abîme – surréalisme et alchimie », le samedi 8 JUILLET – 17H

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A FLANC D’ABIME – SURRÉALISME ET ALCHIMIE

20 MAI – 30 OCTOBRE 2023

Centre international du surréalisme – St Cirq Lapopie

à flanc d’abîme,
construit en pierre philosophale,
s’ouvre le château étoilé…

                                                                                                  André Breton,  
                                                                                                      L’amour fou

À l’origine de cette exposition, il y a rencontres et conjonctures – hasard objectif ? Un vent passionnel soufflé, peut-être, par quelques grands transparents…

C’est une histoire – hors du temps – À flanc d’abîme – que cette exposition tentera de présenter, désireuse de restituer l’un des aspects les plus énigmatiques de la création artistique contemporaine. Le dialogue fécond entre l’alchimie et l’art s’observe tant dans les potentialités poétiques de la langue des oiseaux que dans la force du langage symbolique propice à restituer cette « mystique de la création », quête d’absolu qui hante aussi bien l’œuvre d’André Breton, que celles de Victor Brauner, Jacques Hérold, Jorge Camacho ou des artistes contemporains tels que Serge Pey et les artistes gravitant autour de Venus d’ailleurs. L’ ensemble des expositions s’attachera à retracer l’histoire des relations que le surréalisme entretient avec l’alchimie, en situant René Alleau à la croisée de ces deux imaginaires, de l’art magique ancien à la modernité du mouvement d’André Breton et du surréalisme historique à la création contemporaine.

5 EXPOSITIONS

Maison Rignault & Maison André Breton

Aspects de l’alchimie Traditionnelle – René Alleau, Rêveur définitif

René Alleau, Salomon Trismosin, Basile Valentin , Duchanteau, Pierre Jahan, Jean-Julien Champagne, Eugène Canseliet, Salvador Dali…

Alchimie ou l’art de « prendre sur toutes choses une revanche eclatante »

Victor Brauner, Jacques Hérold, Toyen, Fleury Joseph Crépin, Roberto Matta, Jorge Camacho, Bernard Roger, Elie-Charles Flamand, René Guy Doumayrou, Mimi Parent, Roland Sig, Ghérasim Luca, Marcel Duchamp, Leonora Carrington, Larry Jordan, Philippe Audoin, Martin Stejskal, Jan Svankmajer, Eva Svankmajerova, Jacques Lacomblez, André Breton…

Maison Lespagnol

Rebis

Aurélie Aura, Cédric De Batz, Michel Cadière, Obéline Flamand, Christian Gabriel/le Guez ricord, Patrick Lepetit,  Susan Mende, Olivier Orus, Benoît Pingeot, Yves Reynier.

Maison de la Fourdonne

Parcours souterrain de l’alchimiste

Serge Pey

Cabinet alchimique du château de Cénevières

Memoria rediviva

Yoan Armand Gil

Événements associés à l’exposition :

Lectures, théâtre de papier, cinéma de plein air, colloque…

8 juillet

Victor Brauner, la solidification du rêve
Pascale Fauveau, Marc Rolland, Benoît Pingeot

 


Brauner peint, et Brauner écrit. Ce qu’il peint ne s’écrit, et ce qu’il écrit ne se peint. Et s’il y parle de sa peinture, c’est pour en qualifier la nature exceptionnelle ou en énoncer les processus créatifs. Ce que sa peinture nous fait est, nous dit-il, d’ordre magique, «subtil et dissolvant». Il s’agit du rêve et de sa vérité plus vraie que la réalité, de sa vérité agissante. Comment ne pas penser alors à la folie, puisqu’il n’y a que dans les processus délirants que l’on situe de nos jours ce mode de pensée magique ? Mais comment y penser alors qu’à l’évidence Brauner n’a jamais été fou ?

ALCHERINGA

Groupe surréaliste de Paris

Présentation de la revue Alcheringa avec Sylwia Chrostowska, Joël Gayraud et Guy Girard.

Lecture, signature, action…

22 Juillet

La petite balade du grand macabre


Eric Poirier


Adaptation de Cirrus Poivre
D’après Ghelderode
Décors et personnages de Yoan Armand Gil

11 & 12 Août

Venus Anima

Projection de courts métrages

Ciné concert

Tristan Felix & Arsène Tryphon

Soirée documentaire

avec les films d’Yves Sheriff, Ludovic Tac, Larry Jordan…

Comment s’en sortir sans sortir

Un récital de Ghérasim Luca réalisé par Raoul Sangla.

En septembre

Colloque SURRÉALISME & ALCHIMIE

29 septembre – 1er octobre

vendredi (ouverture)

18 H : Visite guidé de la première salle de l’exposition « Aspects de l’alchimie traditionnelle »

avec Pierre Mollier et Laurent Ségalini, Les classiques de l’iconographie alchimique de la collection du musée de la franc-maçonnerie

Pierre Mollier

Pierre Mollier le Cavailler est un bibliothécaire et historien français. Spécialisé en maçonnologie, directeur de la bibliothèque du Grand Orient de France et conservateur du Musée de la franc-maçonnerie, il est également rédacteur en chef de la revue d’études maçonniques Renaissance traditionnelle.Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris (promotion 1984) et titulaire d’un diplôme d’études approfondies en sciences religieuses (École pratique des hautes études, Ve section). En 2018, il est nommé par le Ministre de la culture au sein du Haut Conseil des musées de France assemblée consultative créée en 2002, pour un mandat de quatre années.

Laurent Segalini
Historien moderniste (XVIe-XVIIIe siècles), docteur en Anthropologie, Laurent Segalini est attaché de conservation au Musée de la Franc-Maçonnerie (Paris). Membre du Grand Orient de France, il est l’auteur, sous différents noms de plume, de travaux sur les sources hermétiques, opératives et populaires de la Franc-Maçonnerie, parus dans diverses revues (Cahiers « Villard de Honnecourt », La Chaîne d’Union, Le Maillon, Franc-Maçonnerie Magazine). Par ailleurs traducteur (espagnol, portugais du Brésil), il est aussi, de par sa formation, spécialiste des Andes préhispaniques, chercheur associé au laboratoire « Archéologie des Amériques » du CNRS et a publié de nombreux articles scientifiques sur la civilisation Inca. D’aucuns soupçonnent qu’il aurait également traîné sa plume dans des périodiques et revues plus politiques (Le Monde Libertaire, Réfractions…), animé quelques émissions radiophoniques, et jeté au vent poèmes ésotériques et compositions musicales.»

19H : Joël Tétard L’alchimie opérative, la voie sèche

Joël Tétard, Ingénieur conseil spécialiste des nouvelles technologies énergétiques et environnementales, cultive l’Alchimie dans son jardin secret depuis des décennies. Il en étudie tous les aspects : histoire des Sciences et des technologies (apports de l’Alchimie aux Arts du Feu, à la Médecine, …), philosophique, symbolique, … Il interroge les rapports de l’Alchimie avec l’Art, la psychologie, les archétypes fondamentaux de l’Humanité, … Son approche est non seulement « spéculative » mais également « opérative », associant le travail au laboratoire à l’étude des textes classiques de l’Alchimie. Il effectue actuellement des recherches sur les anciens traités de Spagyrie, la branche « médicinale » de l’Alchimie, sœur des médecines traditionnelles Ayurvédique et Unani, tibétaine et chinoise.

21H30 : Voyage en Kaléidoscope
Eric Poirier


Théâtre de papier d’après le Roman de Irène Hillel-Erlanger

Jeu, scénographie et adaptation d’Eric Poirier
Décors et personnages de Yoan Armand Gil


Les Voyages en Kaléidoscope, parus en 1919 dans l’heureuse ambiance des débuts parisiens de Dada, de l’avant-garde cinématographique et des premiers jazz-bands, dont ils empruntent parfois le rythme syncopé, n’auraient peut-être laissé d’autre trace qu’une élogieuse chronique d’Aragon dans Littérature, si Fulcanelli puis son disciple Eugène Canseliet n’avaient régulièrement attiré l’attention des Amoureux de Science sur ce roman novateur, bref et insolite, et ses implications alchimiques.

Samedi

10H : Laurent Doucet, L’alchimie dans l’œuvre d’André Breton

Laurent Doucet est tombé dans l’Athanor du Surréalisme à l’âge de 17 ans ! Il préside depuis sa création l’association « La Rose Impossible » qui a sauvé l’ancienne maison du fondateur du surréalisme à Saint-Cirq-Lapopie dans le Lot. Actuellement enseignant en Limousin où il a fondé le festival « Poésie Jour & Nuit ». Il co-dirige avec Marie Virolle la revue A Littérature-Action aux éditions Mars-A où il a créé aussi récemment la nouvelle collection « surréAlismes ».
Principales publications : A Coney Island in my eyes ou l’envers de New-York sorti en février 2020 aux éditions Black-Out de Limoges, Neige et Magma – Carnet d’un voyage en Sicile (poésie bilingue français – italien et photographies d’Olivier Orus, 2018, Marsa), Conjonction d’Insubordination (entretiens avec les poètes Christian Viguié et Laurent Albarracin, 2017, La Passe du Vent) et Au Sud de l’Occident – South of the West (poésie bilingue français – anglais, 2015-2018 troisième réédition, La Passe du Vent). Plusieurs de ses textes sont sortis en revue ou ont été traduits aussi en, grec, roumain, espagnol, arabe et japonais. Sa poésie se nourrit d’un incessant tour du monde, de l’Afrique au Mexique, et de New-York à Tokyo, traversant l’Europe, la Méditerranée et l’Asie à plusieurs occasions…

11H30 : Patrick Lepetit, Surréalistes et Alchimistes

Ouvert au présent comme à l’avenir, il est actif au sein du surréalisme contemporain et contribue à de nombreuses manifestations, revues et publications. Essayiste, poète et collagiste, Patrick Lepetit est le grand spécialiste actuel du courant hermétiste au sein du mouvement surréaliste. Avec ses trois essais, Surréalisme et ésotérisme (Rafael de Surtis, 2008), Le Surréalisme, Parcours souterrain (Dervy, 2012 – Prix 2012 de l’Institut Maçonnique de France, catégorie Symbolisme) et Surréalistes et alchimistes, chemins croisés (Selena, 2023), Patrick Lepetit est l’un des tout premiers à avoir signalé l’influence déterminante d’un ésotérisme à champ très large dans l’élaboration de la pensée de certains surréalistes, André Breton en tête. Il établit une filiation de cette pensée avec celles des symbolistes et des romantiques, voire même, au-delà, des Illuministes de la fin du XVIIIe et des grands « inspirés » de toutes les époques. Après avoir consacré un petit ouvrage à l’œuvre du gendre de l’auteur des Manifestes, intitulé Farder la nuit : Yves Elléouët, il s’attache en pionnier, à explorer les multiples liens qui unissent la plupart des surréalistes français et anglo-saxons à la Celtie tout entière et à ses récits fondateurs, souvent transmis par la tradition orale, dans son ouvrage La Tête d’Ogmius, Surréalisme et mythes celtiques (Editions des Montagnes Noires, 2021- Lauréat 2020 de la Bourse Sarane Alexandrian décernée par la Société des Gens de Lettres).

16H : Marie Dominique Massoni, l’Esprit des lieux (Alleau, Doumayrou, Stejskal…)

Marie-Dominique Massoni est poète et écrivaine ayant appartenu au groupe surréaliste de Paris et aujourd’hui très impliquée dans la franc-maçonnerie féminine. Elle a été directrice de la collection « Voix d’initiées » de la Grande Loge féminine de France. Elle dirige aujourd’hui les Cahiers de sa loge nationale de recherche dont les travaux sont pour l’heure focalisés sur l’hermétisme. Son écriture sensible, de la pure intuition de sa poésie à l’exploration critique de ses essais, n’a jamais dérogé de ses combats premiers. La mise en commun de la pensée est pour elle aussi essentielle que la création personnelle et elle fustige volontiers narcissisme et egos surdimensionnés ou la lente agonie des langues due à la paupérisation continue de leurs lexiques et de leurs syntaxes.
En 1982, son livre …Sans message est illustré par Jorge Camacho. Elle a organisé des expositions, a contribué à la Revue S.U.RR (Surréalisme, Utopie, Rêve, Révolte) de 1996 à 2005 aux côtés de Bertrand Schmitt, André Bernard, Aurélien Dauguet, Dominique Paul, Guy Girard, Michaël Lowy, qui publie aussi textes et images de surréalistes étrangers parmi lesquels Ivo Purš, Jan Švankmajer, Eva Švankmajerova et Martin Stejskal du groupe surréaliste de Prague réuni autour de la revue Analogon. Outre ses publications personnelles, en 2002, elle participe à l’ouvrage, Eva et Jan Švankmajer bouche à bouche, édité aux éditions de l’œil avec Bertrand Schmitt et Anna Pravdova.

17H30 : TABLE RONDE René Alleau ou l’écriture philosophale

Présentée et animée par Gilles Bucherie et Jacques Eischer.


Gilles Bucherie est en charge des imprimés à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. Diplômé de l’EPHE (École Pratique des Hautes Études) pour une étude sur Barlet et le mouvement occultiste, il collabore à différentes publications dont la revue scientifique Politica Hermetica (Stratégies éditoriales et ésotérismes et René Alleau : une pensée traditionnelle dans la modernité).
Il est notamment l’auteur de René Alleau et l’écriture philosophale (éditions Selena, 2022) et F. Ch. Barlet, Fragments d’une histoire secrète, Alcor 2022). Il a contribué à l’ouvrage collectif Rêveur définitif (Venus d’Ailleurs 2023) consacré à l’œuvre graphique de René Alleau.

Jacques Eischer est tôt passionné par l’« Alchimie », et notamment par l’œuvre de R. Alleau qui n’a cessé de le nourrir tout au long de son parcours. Titulaire d’un master en philosophie (sur Proclus et le rôle de la phantasia dans les mathématiques) et en science des religions à l’Université de Fribourg, il exerce aujourd’hui la profession, à titre libéral, de psychothérapeute (d’inspiration jungienne) à Lausanne. Ses centres d’intérêt actuels gravitent principalement autour des « Arts hermétiques traditionnels ».

21H30 : Performance de Serge Pey

Dimanche

10 H : Emmanuel Bauchard, Pierre Mabille

Emmanuel Bauchard fait d’abord des recherches sur Esteban Francés puis sur Le miroir du merveilleux avant de commencer une thèse en histoire de l’art à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne sur Pierre Mabille. Il y réfléchit et revalorise ses apports au sein des évolutions du mouvement surréaliste, notamment du point de vue de la diversification de ses sources intellectuelles. Il travaille actuellement sur une édition critique des textes de Mabille en rapport avec l’art et la poésie.

11H30 : David Nadeau, Le surréalisme et la loge de Thebah
Historien de l’art, poète et musicien, David Nadeau réside dans la ville de Québec (Canada) depuis 2007, où il anime les éditions La Vertèbre et le Rossignol ainsi que la revue du même nom. Empereur du Saint-Empire faustollien au Protectorat de ‘Pataphysique québecoise, il participe par ailleurs aux activités du mouvement surréaliste. Il s’intéresse particulièrement aux relations entre l’ésotérisme et la création artistique, dans une perspective nettement libertaire. Il est l’auteur de plusieurs livres : La cottura dell’uovo nero, adornée de gravures sur bois de Lukas Zanotti ( Éditions Collage de ‘Pataphysique, 2017) et L’Arche utopique, le surréalisme et la loge maçonnique Thébah (Éditions Venus d’Ailleurs, 2022), une étude des liens entre le mouvement surréaliste et la franc-maçonnerie, prolongement des travaux de Jean-Pierre Lassalle et de Patrick Lepetit. Il contribue à plusieurs actions dans le cadre du surréalisme international et contribue à de nombreuses revues telles que Chroniques d’histoire maçonnique, Quaderno del Collage de ‘Pataphysique, Inter, art actuel et Ritual, Secrecy, and Civil Society.

15H : Marc Kober, La poésie hermétique d’Elie-Charles Flamand

Co-fondateur en 1990 de la revue La Révolte des chutes, il rejoint Supérieur Inconnu en 1996, puis La Sœur de l’Ange, aux éditions Hermann. Auteur d’une monographie sur un auteur remarquable, Georges Henein : l’éclat de la ténuité. Itinéraire d’un écrivain francophone entre Égypte et Europe au XXe siècle (Librairie Honoré Champion, 2014),
il a publié des nouvelles sur le Japon (L’Archipel des osselets, Fayard, 2000) et des poèmes (Un Hareng dieppois à Fécamp ; Traité du moustique en zone libre ; L’Ours des mers, Vincent Rougier). Il participe activement aux éditions Rougier v. éditions (Vincent Rougier). Normalien, agrégé ès-lettres, il est actuellement maître de conférences en littérature française et comparée à l’université Paris 13.

Pour Élie-Charles Flamand, la pratique poétique est un cheminement vers la Lumière intérieure.
Sa œuvre littéraire, considérable, entre poésie d’un lyrisme onirique et essais d’une grande érudition, est éclairée par les lueurs magiques de l’athanor.
Fixé définitivement à Paris en 1952, grâce à Pierre Seghers il rencontre Jean-Louis Bédouin qui le présente à André Breton dont il devient l’ami. Il prendra part à toutes les activités du groupe surréaliste durant huit ans et publiera des textes dans les revues Médium, Le Surréalisme, même, et Bief. S’intéressant à l’ésotérisme depuis très longtemps, André Breton et René Alleau le présente à Eugène Canseliet grâce auquel il est initié à l’Art d’Hermès en théorie comme en pratique.
En 1958, il sympathise vivement avec Edouard Jaguer et rejoint le groupe Phases.

16H30 : Clément Gaësler
, ésotérisme et patrimoine
Clément Gaësler est chercheur en Histoire de l’art et anthropologie de l’art. Diplômé de l’École du Louvre et de l’EPHE, il obtient une licence en spécialité Art de l’Inde et des pays indianisés avant de poursuivre une spécialisation en art moderne et contemporain. Chercheur stagiaire auprès du Musée du Louvre, puis du CNRS pour le Chantier-Scientifique de Notre-Dame de Paris, il rejoint l’Association de la Rose Impossible en 2020 afin d’accompagner la création du Centre international du surréalisme- Maison André Breton où il assiste désormais la Mairie et l’Association aux fonctions de conservateur du patrimoine.
Ses récentes recherches portent sur le Surréalisme ainsi que les imaginaires ésotériques artistiques. L’étude des étiquettes présentes sur les malles de voyage du couple Élisa et André Breton l’ont conduit à analyser les dynamiques d’un Surréalisme diasporique post-Seconde Guerre mondiale.